This study is part of the work carried out in experimental plots of different research centres (IMIDA, CEBAS, UPCT and IVIA) that are part of the TELERIEG project, with the aim of improving irrigation methods in irrigated crops in the region of Murcia, significantly contributing to a better management of drought. The work was carried out, on the one hand, on two parcels of citrus fruit (mandarin and grapefruit) where several different irrigation treatments were applied, which generated varying degrees of water stress on the studied trees. Three sources of irrigation water were also used, each one different in nature and quality, in order to study their impact on the development of crops. On the other hand, work was also carried out on a parcel of peach trees, where several different irrigation treatments were applied, which also generated varying degrees of water stress. This variability in tree water status was measured in the field through stem water potential at midday ( s), and from the air by capturing images with a multispectral camera to estimate the values of the near-infrared spectrum (NIR) and the normalized difference vegetation index (NDVI).

Cette étude s'inscrit dans le cadre des recherches effectuées dans des parcelles expérimentales de différents centres de recherche (IMIDA, CEBAS, UPCT et IVIA) participant au projet TELERIEG, dont l'objectif est l'amélioration des méthodes d'irrigation dans la région de Murcie, contribuant ainsi de façon significative à la gestion de la sécheresse. Les travaux ont été réalisés, d'une part, sur deux parcelles d'agrumes (mandarine et pamplemousse) où plusieurs traitements différents d'irrigation ont été appliqués, ce qui a généré des degrés variables de déficit hydrique sur les arbres étudiés. Trois sources d'eau d'irrigation ont été utilisées de nature et de qualité différentes, afin d'étudier leurs effets sur le développement des cultures. Les travaux ont été aussi conduits sur une parcelle de pêchers où plusieurs traitements différents d'irrigation ont été appliqués, ce qui a généré des degrés variables de déficit hydrique sur les arbres étudiés. Cette variabilité de l'état hydrique des d'arbres a été mesurée sur le terrain à l'aide du potentiel hydrique des tiges à midi (s), et à distance au moyen d'images capturées avec une caméra multispectrale, qui ont permis d'estimer les valeurs du spectre dans le proche infrarouge (NIR) et l'indice de végétation par différence normalisée (NDVI).