En Egypte, le secteur privé produit 85 pour-cent du lait. Environ la moitié du lait produit est consommé (35 pour-cent) ou transformé (15 pour-cent) sur place par les éleveurs, l'autre moitié étant traitée par l'industrie. L'élévation du coût de production, le manque de structures de transformation et la dévaluation de la livre égyptienne ont freiné l'augmentation de la production liée en partie à l'importation de vaches à haut niveau de production. La Société générale des ressources animales se propose de développer la collecte, la transformation et la commercialisation. Le Ministère de l'Industrie structure l'industrie des aliments du bétail. Des projets pilotes comme celui de Khattana permettent de mettre au point des systèmes performants.