Des feuilles d'olivier isolées ou rattachées aux branches ont été séchées par différentes méthodes : de façon rapide dans une étuve à 60-65 degré Celsius, ou lentement de façon naturelle. Les feuilles séchées naturellement ont été protégées ou bien exposées directement au soleil et à la pluie. Les feuilles passées à l'étuve ont montré un niveau de N-ADF plus haut que pour celles séchées naturellement, et surtout lorsque les feuilles étaient rattachées aux branches. La DMS in vitro des feuilles fraîches (58 pour cent) était réduite de 12 pour cent par passage à l'étuve ou séchage dans un bâtiment, et de 14 pour cent de plus par effet du soleil et de la pluie. La DPB des feuilles fraîches était faible (30,9 pour cent) et était réduite de 27 pour cent par dessèchement (de façon naturelle en intérieur), de 51 pour cent (à l'air libre) et de 68 pour cent en étuve.