TY - CHAP AU - Leenstra F. PY - 2013/// TI - Local feed resources for poultry T2 - Feeding and management strategies to improve livestock productivity, welfare and product quality under climate change PB - Zaragoza : CIHEAM / INRAT / OEP / IRESA / FAO VL - 107 T3 - Options Méditerranéennes : Série A. Séminaires Méditerranéens SP - 253-258 A2 - Ben Salem H. A2 - López-Francos A. AB - In poultry ‘no input’, ‘low input’ and commercial production can be distinguished. ‘No input’ implies scavenging poultry with some kitchen waste or crop residues as supplemental feed. Input is negligible and economic efficiency is high, provided there is any output. Commercial production is capital intensive and completely based on supplied feed. Birds might be given outside access for foraging, but this is for behavioural and welfare reasons, not for nutrition. Chickens are real omnivores. The feed industry utilizes all kinds of ingredients and by-products for least cost rations. Literature provides a tremendous amount of information on feeding value of a wide variety of feed ingredients. Low input systems are a difficult category for economic evaluation. Birds often have to get part of their diet from scavenging, but also receive on a regular basis (compound) feed. This can be home-made from local resources or industrial and thus out-ofpocket costs. Purchase of feed is only possible if sufficient income can be generated from sales of eggs or birds. Lack of market access (buying resources and selling products) and competition from industrially produced eggs and meat are more a barrier than knowledge on feed resources. With regard to management no input and low input systems have a tendency to ‘over-graze’ the resources for scavengers, with high mortality and low productivity as a consequence. Reducing numbers of birds might increase productivity. AB - Dans le secteur avicole on peut distinguer différents types de production : production sans intrants (no input), production à faible niveau d\'intrants (low input) et production commerciale. La production sans intrants ‘No input’ est basée sur l’utilisation exclusive des déchets ménagers ou des résidus de récolte comme compléments. Les coûts sont négligeables et l’efficacité économique peut être élevée s\'il y existe une production finale. La production commerciale est intensive et complètement basée sur l\'apport des aliments de l\'extérieur. Les volailles pourraient bénéficier d\'accès à l\'extérieur, mais c\'est pour des raisons de bien-être, pas pour la nutrition. Les poulets sont des omnivores. Les fabricants d’aliments pour bétail utilisent différents ingrédients pour formuler des aliments au moindre coût. La littérature fournit beaucoup de données relatives à la valeur alimentaire d’une large gamme d’aliments. L\'évaluation économique des systèmes à faibles intrants est considérée difficile. Les oiseaux sont souvent astreints à se nourrir sur les résidus mais reçoivent aussi et de façon régulière des aliments composés qui pourraient être fabriqués au niveau de la ferme à partir de ressources alimentaires locales ou à partir de ressources industrielles achetées. L’achat des aliments n’est possible que lorsqu’un revenu est généré à partir de la vente des oeufs et des oiseaux. Le manque d\'accès au marché (achat des ressources et vente des produits) et la concurrence avec la production d\'oeufs et de viande à l’échelle industrielle représentent une barrière plus importante que la maîtrise des ressources alimentaires. Quant à la gestion, les systèmes « sans intrants » et « à faibles intrants » ont tendance à surexploiter les ressources alimentaires issues de résidus, ce qui se traduit par une mortalité élevée et une faible productivité. La réduction du nombre de volailles pourrait améliorer la productivité de ces animaux. N1 - 14. International Seminar of the Sub-Network on Nutrition of the FAO-CIHEAM Inter-Regional Cooperative Research and Development Network on Sheep and Goats, 2012/06/15-17, Hammamet (Tunisia) UR - http://om.ciheam.org/om/pdf/a107/00007045.pdf ER -