TY - CHAP AU - Sotiraki S. AU - Stefanakis A. AU - Hoste H. AU - Maurer V. AU - Butler G. AU - Leifert C. PY - 2013/// TI - The role of biotic and abiotic stress factors on sheep welfare: The example of parasites and climatic changes in European countries T2 - Feeding and management strategies to improve livestock productivity, welfare and product quality under climate change PB - Zaragoza : CIHEAM / INRAT / OEP / IRESA / FAO VL - 107 T3 - Options Méditerranéennes : Série A. Séminaires Méditerranéens SP - 159-169 A2 - Ben Salem H. A2 - López-Francos A. AB - Traditional Mediterranean small ruminants’ production systems mostly involve local breeds, which are kept in outdoor conditions with natural ligneous vegetation and cereal stubble, as major dietary components. Biotic stress factors, in particular, gastrointestinal nematodes remain one of the main threats for the health and the welfare in such ‘low input’ production conditions. Gastrointestinal parasites can cause production losses, increased susceptibility to other diseases and/or pests, and even death. Abiotic stress factors (e.g. temperature stress and imbalanced diets) are known to result in significant reductions in yield and product quality and may increase the susceptibility of animals to parasites and other diseases. Predicted changes in climate are expected to increase heat stress incidence, especially in Southern Europe. Abiotic stress is also known to increase the susceptibility of sheep to gastrointestinal parasites. The predicted impacts of climate change include increased heat stress, changes in semi-natural vegetation cover used for grazing, damaged ecosystems, and rising sea levels. The actual effects are predicted to heterogeneous and to differ between regions. Yet, in most cases, the negative effects are expected to outweigh the benefits and disproportionately hurt traditional small ruminant farmers which in many regions are among the poorest population groups, and have the least capacity for adaptation. Climatic changes will reduce grain yields, will impair pasture composition, quality and quantity, will direct affect pathogen prevalence, incidence and severity and thereby influence animal health and productivity and resource (especially feed) use efficiency. Adaptation of livestock to the more variable environmental conditions predicted as a result of climate change should therefore be a primary focus of R&D focused on improving small ruminant management and breeding systems/strategies. A particular focus should be on improving the sustainability and robustness via the utilization of robust, indigenous breeds rational waste utilisation and management, development of more balanced diets and re-integration of (and nutrient cycling between) local small ruminant and crop production systems. AB - Les systèmes de production traditionnels méditerranéens des petits ruminants concernent surtout les races locales, qui pâturent et qui utilisent la végétation ligneuse et les chaumes de céréales comme principaux composants alimentaires. Les facteurs de stress biotique, tels que l’infestation par des parasites gastro-intestinaux, restent l’une des principales menaces pour la santé et le bien-être des petits ruminants élevés en conditions extensives. Ces parasites gastro-intestinaux peuvent provoquer des pertes économiques dues aux baisses de production, aux coûts de la lutte, à une augmentation de la sensibilité aux maladies et parfois même la mort des animaux. Les facteurs de stress abiotique (ex : température, régimes alimentaires déséquilibrés) sont connus pour influencer la quantité et la qualité des productions et ils peuvent augmenter la sensibilité des animaux aux parasites et autres maladies. Selon les prévisions de changement climatique il faut s’attendre à une hausse du stress thermique, en particulier dans le sud de l\'Europe. Ce stress thermique est aussi connu pour augmenter la sensibilité des petits ruminants aux parasites gastro-intestinaux. L’impact du changement climatique comprend une augmentation de la chaleur, des modifications de la végétation seminaturelle, le bouleversement des écosystèmes et l’augmentation du Options Méditerranéennes, A no. 160 . 107, 2013 niveau de la mer. Les prédictions sur les effets réels sont hétérogènes et spécifiques à chaque région. Pourtant, dans la plupart des cas, il est apparent queles effets négatifs sont supérieurs aux effets bénéfiques et qu\'ils toucheront spécialement les éleveurs de petits ruminants, un groupe de population peu favorisé et à faible capacité adaptative. Le changement climatique va réduire les rendements en grains, affaiblir la qualité et la quantité des pâturages, affecter la prévalence, l\'incidence et la sévérité des pathogénies , influençant l\'état de santé et la productivité des animaux. L’adaptation de l\'élevage dans un environnement en mutation devrait être un élément clé dans tous les choix et stratégies de recherche et développement. Ces stratégies devraient soutenir le développement durable et une gestion moderne de la production animale qui inclura l\'adaptation de systèmes d\'élevage appropriés, la sélection de races indigènes robustes, la gestion rationnelle des déchets et des régimes alimentaires équilibrés, ainsi que la ré-intégration (à travers des cycles de nutriments) entre systèmes de production de petits ruminants et de cultures. N1 - 14. International Seminar of the Sub-Network on Nutrition of the FAO-CIHEAM Inter-Regional Cooperative Research and Development Network on Sheep and Goats, 2012/06/15-17, Hammamet (Tunisia) UR - http://om.ciheam.org/om/pdf/a107/00007027.pdf ER -