Le document tente de soulever les problèmes que pose l'application actuelle d'une vulgarisation agricole qui existait depuis 1960 et qui a fonctionné de façon satisfaisante pendant 25 ans avant la guerre. Structuré en 3 parties, il tente de répondre d'abord à la nature du lien entre recherche agronomique et vulgarisation agricole, puis au pourquoi de l'échec relatif de la vulgarisation. La troisième partie évoque le souhait de la mise en place d'un système de vulgarisation non pas importé mais dont la philosophie corresponde à la réalité socio-économique.