L'objectif de stabiliser ou augmenter le rendement de la culture du blé dur par des apports supplémentaires d'eau durant les phases critiques du cycle végétatif doit être recherché en tenant compte d'une valorisation optimum du facteur le plus précieux et le plus incertain l'eau. Les performances des cultivars de blé à cet égard sont variables, et peuvent être connues à travers l'estimation de l'efficience biologique, agronomique et économique (productivité des apports d 'eau). Malgré la complexité de la question, cette approche est relativement peu coûteuse à mettre en ouvre et donne des résultats pouvant être facilement adoptés par l'agriculteur et indirectement utilisés par le sélectionneur.